Eté 1918. La guerre fait rage pour quelques mois encore, mais pour Charles et Angèle, elle est déjà finie. Lui, officier de cavalerie y a laissé une jambe. Elle, son infirmière à domicile, vient de perdre au front son grand amour, le père de sa petite fille. Unis par le besoin de se reconstruire, ils nouent une complicité joyeuse qui les ramène à la vie. Sur l'insistance de Charles, Angèle accepte un mariage de raison. Il leur faudra entrer en guerre, contre eux-mêmes et contre l'autre avant d'accepter l'évidence de la passion qui les lie malgré eux…

Sur fin de première guerre mondiale, ce film parle principalement du désir, du moins est-ce ainsi que je l’ai ressenti.

Pourquoi ressens-t-on du désir pour une personne et pas pour une autre ? Est-il lié à l’amour ou pas forcément ?

Il parle également de l’acceptation. La fin d’un amour, d’un corps mutilé à jamais. Malgré le charme incontestable de l’actrice, il m’a semblé qu’il manquait du souffle à ce film, un petit je ne sais quoi, qui en aurait fait un très beau film. De plus, j’ai trouvé certaines scènes inutiles et faciles et je n’ai pas adhéré à la scène finale. Et si quelqu’un veut m’expliquer le titre du film ?

L'odeur de la mandarine
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